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Des autocars au carburant 100% végétal, à l'huile de colza

Tour Hebdo | Autocaristes | publié le : 10.05.2023 | Dernière Mise à jour : 11.05.2023

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Auteur

  • Marine Perrier

A l'occasion des 35 ans du prestataire d'autocars Standing Euro Tours, la société annonce la sortie de sa nouvelle gamme de véhicules de luxe au carburant végétal et renouvelable: Eco Lux Mobility

 

5 premiers bus exploitables

Pionnière dans la mise en service d’autocars à destination des femmes et hommes d’affaires pour leurs déplacements professionnels depuis 1988, l’entreprise Standing Euro Tour poursuit sa route avec cette fois : des véhicules responsables.

Lors du 35ème anniversaire de Standing Euro Tour, le Président Selcuk Sinan a annoncé sa fusion avec CLS Paris et a présenté sa nouvelle gamme d’autocars. En partenariat avec le constructeur automobile Volvo et le groupe agro-industriel Avril, ce sont d’abord cinq premiers cars qui seront prochainement exploitables.

 

Une qualité de service haut de gamme

« Cette nouvelle gamme de véhicule est basée sur le standard des compagnies aériennes. Des hôtesses et hôtes assureront une offre de service de qualité afin que les passagers organisent leurs journées dans les meilleures conditions » précise Selcuk Sinan, Président de Standing Euro Tours. En ajoutant : « les véhicules disposent de sièges en cuir inclinables, d’une machine à café, de prises USB et d’une télévision avec TNT ».

 

Un carburant 100 % végétal

Standing Euro Tours propose un carburant 100 % biodégradable, qui n’est autre que l’huile de colza, réduisant jusqu’à 60 % des émissions de gaz à effet de serre.

François de Baillenx, Directeur commercial du Groupe Avril explique : « C’est un surplus d’huile que nous n’avons pas utilisé comme huile alimentaire et pour laquelle nous faisons du biocarburant. Cela est un substitut immédiat au gazole dans les motorisations diesel, donc nous passons d’un carburant fossile à un carburant renouvelable qui agira concrètement sur le réchauffement climatique en permettant de réduire les émissions de CO². » Et précise : « C’est une solution franco-française qui permet de maintenir l’industrie de l’agriculture française. Ce ne sont pas moins de 150 000 agriculteurs qui œuvrent à cette activité. »

 

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