Mercredi matin, une cinquante de véhicules représentant les 50 entreprises du collectif SOS Autocaristes en détresse, ont parcouru les rues de la capitale pour rappeler que leur situation est loin d’avoir été réglée.
Certes après bien des négociations, les autocaristes ont obtenu du gouvernement d'être inclus dans le plan de soutien au tourisme. Mais derrière cette inclusion générale, il manque les précisions sur les aides disponibles explique Antonio Faria (Monddia France), porte-parole du collectif d’entreprises réunies autour de la bannière SOS Autocaristes en détresse.
Les informations manquent pour savoir comment les 50 millions prévus dans le cadre du plan vont être alloués au « transport routier de voyageurs », une catégorie qui inclue aussi bien les lignes régulières que les prestations touristiques.
Ces dernières, contrairement au transport régulier, sont toujours totalement à l’arrêt. Aucune commande ni aucun devis ne viennent éclairer l’avenir, selon le collectif.