La fin de l’état d’urgence sanitaire le 11 juillet prochain sonne aussi la reprise d’une partie de l’activité des croisières, pour l’instant limitée aux croisières fluviales. Les professionnels sortent leur programme.
Le dernier Conseil de défense a libéralisé encore davantage les conditions du déconfinement et autorisé la reprise des croisières fluviales. Les excursionnistes fluviaux et les rares spécialistes du secteur, à l’instar de CroisiEurope, sont sécurisés sur la pertinence de la programmation lancée il y a quelques semaines. Pour autant, les croisières côtières restent en suspens au grand dam de la Belle des Océans qui ne sait pas encore si elle pourra larguer les amarres de Nice en direction de la Corse.
L’avenir de la croisière maritime à court terme est suspendu aux décisions du Gouvernement sur la capacité acceptable à bord des grands navires et sur des accords au sein même de l’Europe entre les pays d’escale, notamment méditerranéennes. « En coordination avec nos partenaires européens, il pourra être décidé de reprendre les croisières en mer entre les ports européens, pour les navires dont la capacité ne dépasse pas une limite fixée par arrêté ministériel », détaille le cabinet du Premier ministre. Espoir