Pour cette seconde édition des Assises du tourisme de groupe, deux sujets ont été abordés pour faire état des difficultés rencontrées dans la capitale par les autocaristes, mais aussi de la coopération qui se met en place entre institutionnels et opérateurs privés pour donner vie à la Vallée de la Gastronomie.
Les deux sujets seront largement rapportés dans notre prochaine édition compte-rendu du salon.
D'un côté, il faut bien reconnaître que les représentants des autocaristes se désespèrent de l'attitude des édiles municipaux qui pointent du doigt une partie émergée de l'iceberg autocar... ne voyant que des cars vides stationnés devant les monuments ou dans les artères parisiennes, oubliant un peu trop facilement qu'ils ont transporté des millions de touristes, générant des milliards de chiffre d'affaires.
La période électorale n'est guère propice à un dialogue constructif, mais les représentants de la Fédération nationale des trannsporteurs de voyageurs ne renoncent pas à faire passer un message plus positif.
Plus au Sud, entre Dijon et Marseille, une nouvelle entité se met en place en surfant sur une thématique riche et populaire : la Gastronomie. Avec pour points d'ancrage les futurs et actuelles Cités mondiales de la Gastronomie, à Beaune ou à Lyon, et d'autres initiatives encore, la région Auvergne-Rhône-Alpes a eu l'idée de lancer le concept de la Vallée de la Gastronomie, en associant tous les niveaux institutionnels jusqu'en Provence-Cote d'Azur et des professionnels réceptifs et autocaristes.
Le projet se met en place pour être opérationnel l'an prochain. Un dossier complet sera présenté, une fois encore, dans notre prochain numéro. Mais l'initiative mérite déjà un coup de chapeau.