Nutchel est née en 2017 de l’envie de créer une nouvelle expérience de tourisme vert. Son leitmotiv : déconnecter pour mieux se reconnecter. Le tout dans une cabane en bois mêlant le retour à l’essentiel et une vie tournée vers l’extérieur.
Dès cet automne, près de 40 cabanes en bois offriront une parenthèse authentique au cœur du piémont vosgien, à Plaine dans la Vallée de la Bruche (Région Grand Est) à près de 600 m d’altitude. Cette ouverture reflète la vision de l’entreprise dont l’ambition est de revaloriser d’anciens sites touristiques, laissés à l’état de friche.
Nutchel promet à ses hôtes une expérience de « glamping » : véritable retour aux sources, conciliant confort et respect de l’environnement. Fort du plébiscite de sa première implantation dans les Ardennes belges, , le jeune exploitant européen réaffirme son leitmotiv : se déconnecter pour mieux se reconnecter, à soi et aux autres à moins d’une heure de Strasbourg et à 3h30 de Paris.
Rien ne se perd, tout se transforme
La démarche disruptive de Clémence Rousseau-Dumarcet, valorise et transfigure l’existant. Attentif à son impact environnemental, le promoteur relève le défi de redynamiser d’anciennes friches touristiques dénaturées et de les rendre plus vertueuses.
Nutchel réinvestit aussi cet espace alsacien pour sa richesse naturelle, patrimoniale et gastronomique. Casser pour faire renaître : telle est la volonté affichée de l’entreprise, qui a investi plus de 3,5 millions d’euros dans ce vaste projet.
Les nouveaux hébergements sont installés sans fondation et réutilisent les canalisations déjà existantes pour être respectueux des sols. Un reboisement du site est également entamé afin de redonner son caractère primitif au lieu. Les cabanes se déclinent en 7 modèles distincts conçus spécifiquement pour le décor luxuriant et naturel de la vallée.
En outre, le village alsacien, dont l’implantation va créer 22 emplois, valorise la promotion de produits régionaux et des partenariats avec des petits producteurs et artisans de la Vallée. Du temps passé, ne subsiste que la piscine du village vacances des années 70, réhabilitée en véritable témoin d’un mode de villégiature d’une autre époque. Elle sert dorénavant d’ultime étape du parcours d’eau qui démarrera dans l’un des deux saunas du domaine.
Une micro-aventure à partager
Dès le 22 octobre 2021, il sera possible de résider, pour un court séjour de 2 à 4 nuits, dans l’un des 37 hébergements pouvant accueillir 2 à 6 personnes par cabane, chacune dispose d’une cuisine avec petite gazinière, d’un évier à eau froide, d’une glacière en bois en guise de réfrigérateur, d’un poêle à bois et d’un espace convivial pour profiter de la vue, mais aussi casseroles et ustensiles indispensables pour concocter quelques douceurs, d’une douche à eau chaude et de sanitaires privatifs, d’une terrasse avec barbecue et table de pique-nique, d’une literie digne des plus grands établissements...
A partir de 90 euros par nuit pour 2 personnes