Un enfant du pays à continuer le rêve de son père, faire revivre et prospérer une ancienne résidence de la famille Montpezat en halte de ressourcement pour petits groupes.
Le Château de Saint-Martory est niché au cœur du Comminges et du village qui porte son nom. Son histoire remonte au début du XVIeme siècle lorsque la famille de Montpezat, seigneurs de Tajan et Saint-Martory, construisit en 1515 sa nouvelle résidence en bord de Garonne, afin de mieux contrôler le trafic fluvial.
Peu après la Révolution, le Prince de Berghes en fait l’acquisition et entreprend de le transformer dans le style néogothique très prisé de l’époque. Le domaine a ensuite changé de main à plusieurs reprises avant d’être acheté, en 1991, par le père de Jean-François Delort, l’actuel propriétaire. Ce dernier n’a de cesse d’animer la propriété, château et dépendances.
Le domaine comprend un immense parc boisé de 40 hectares, où il n’est pas rare d’apercevoir des animaux sauvages. Cette « maison de famille » abrite 7 suites dans le château et trois chambres dans la métairie voisine.
Le temps d’un séjour en groupe à l’occasion d’un séminaire ou d’un roadtrip à vélo pour gravir les cols mythiques des Pyrénées, les hôtes vivent la vie de château dans un moment qui n’appartient qu’à eux.
A quelques kilomètres à peine des premiers contreforts des Pyrénées Centrales, l’esprit des lieux est le fruit d’une réflexion nourrie par l’affect.
À 45 minutes de Toulouse, loin de l’agitation urbaine, le château est un havre de paix, de quiétude absolue, une échappée pour se déconnecter. Les plaisirs de la table y sont aussi conviés, en toute excellence, pour répondre avec le plus grand soin à la tendance actuelle du slow tourisme.
Grâce à l’étendue de son domaine, le Château de Saint-Martory offre différents espaces pour l’accueil de groupes. D’un côté le château, avec ses différents salons, sa salle des gardes, sa cave et ses 7 suites ; de l’autre, la métairie qui abrite trois chambres supplémentaires, une salle de réception, une magnifique cour carrée et un préau que l’on peut aussi fermer et chauffer en hiver. L’ensemble de la propriété est systématiquement privatisé, ce qui exclut l’organisation du séjour et du programme.