Les députés ont bien examiné les dispositions de la loi Macron relatives à la libéralisation du marché de l'autocar. Pas de surprises particulières, le seuil des 100 km et les grands principes déjà évoqués ont été retenus avant l'envoie du texte au Sénat. En revanche, quelques détails relèvent encore d'une forme d'imbroglio typiquement française… Première analyse.
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