Le groupe de communication français Heroiks a publié les conclusions de son analyse sur la dépendance de plus de 80 marques françaises du tourisme aux moteurs de recherche, et notamment à Google. Voici les résultats.
À quel point les acteurs du tourisme français dépendent-ils de Google et donc des techniques de référencement naturel ou payant ? C'est à cette question qu'a essayé de répondre le groupe de communication indépendant Heroiks.
Ce dernier a analysé les flux web entrants de plus de 80 voyagistes afin d'évaluer le Search Dependence Index (SDI), l'indice qui évalue la dépendance aux moteurs de recherche. Plus il est élevé, plus le site internet est dépendant au Search et donc, à Google, qui représente encore aujourd'hui la grande majorité des requêtes sur un moteur de recherches.
L’indice SDI évalue donc la contribution du trafic issu des canaux « search » (tous moteurs) en distinguant les techniques de SEO (Search Engine Organization, soit le référencement naturel, techniques d'écriture permettant de remonter plus haut dans les résultats de recherches) et SEA (Search Engine Advertising, soit la publicité présente sur les moteurs de recherche).
Les mesures tiennent également compte du facteur notoriété des marques influençant la nature des requêtes. Les chiffres utilisés s’appuient principalement sur des données produites par SimilarWeb, Alexa et Semrush, des outils spécialisés dans l'analyse des flux de requêtes via les moteurs de recherche comme Google.