Les résultats des transporteurs sont en chute libre. Les trafics sont en berne, et la reprise n’est pas annoncée avant 2011. Pourtant, il faut déjà songer à l’après-crise. Un exercice délicat entre commande d’avions, réduction de voilure, protection des parts de marché et des cours de bourse.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous