L’accident du 13 janvier a braqué les lumières de manière dramatique sur l’industrie de la croisière. Celle-ci défend ses procédures, tout en s’interrogeant sur les façons de les optimiser. Exercices d’évacuation, abandon du navire, responsabilité à bord… Le naufrage est passé au crible pour tenter d’en tirer des leçons.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous