Chaque année, plus de 100 000 passagers – dont quelque milliers de Français – explorent l’Antarctique et l’Arctique. Ce marché des « croisières extrêmes » demeure modeste, mais il est fortement rémunérateur pour les agences. Pour autant, la hausse constante du trafic oblige à réfléchir à de nouvelles mesures pour protéger des écosystèmes fragiles.
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