Difficile de faire parler les chiffres de façon imparable en l’absence de données réellement comparables. Mais un constat s’impose : si le marché global des voyages de loisirs progresse légèrement, les volumes moyens réalisés par les intermédiaires dits traditionnels ont tendance à baisser. Le printemps arabe et les inquiétudes économiques en France n’arrangent pas les choses… État des lieux.
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