Si les marchés émetteurs internationaux sont pour la plupart en hausse depuis le début de l’année, l’Hexagone est à peine à l’étale par rapport à une année 2011 très faible. Résultat, les hôtels-clubs de TO français ferment les uns après les autres, et les bateaux restent à quai sur le nil. peu d’opérateurs envisagent une reprise avant l’année prochaine.
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