Certes la crise affecte de plein fouet le marché de la location de voitures. Les relations des loueurs avec les constructeurs automobiles sont très tendues, voire bloquées. Le coût des emplacements dans les aéroports et les gares ne cesse d’augmenter. Les « grands comptes » font des économies drastiques. La clientèle étrangère déserte la France, surtout celle en provenance des zones hors euro. Bref, « il y aura de la casse », prédisent certains opérateurs. Mais, pour les agences de voyages, la location de voitures est toujours une vente additionnelle rémunératrice. Et il reste des opportunités à saisir. En France, elle s’inscrit dans les nouveaux modes de consommation, se substitue à l’achat d’un véhicule, et séduit toujours plus les jeunes et les seniors.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous