Un littoral dentelé comme une coquille d'huître, où s'enchâsse une flottille d'îlots déserts, des plages diamantées, des marinas de milliardaires, de minuscules bungalows blancs issus d'une foule d'hôtels-clubs francophones… Des montagnes taillées à la serpe, qui reflètent sur le miroir liquide de la mer Égée l'une des plus grandes densités de vestiges antiques au monde : Cléopâtre et Antoine considéraient déjà la péninsule de Bodrum comme un site idyllique pour leurs vacances. Les TO français la préfèrent souvent à Antalya ou à Izmir, pour son architecture traditionnelle, ses villages authentiques, la limpidité turquoise de ses eaux tièdes, son sens inné de la fête. D'autant que ce Saint-Tropez turc, relié à la France l'été par une armada de charters, tient à portée d'excursion deux des plus beaux trésors du pays : Éphèse et Pamukkale.
L'avis d'un pro