On l’adore ou on la déteste ; la capitale égyptienne suscite toujours des émotions fortes. Il faut passer outre le gigantisme de cette mégalopole de plus de 17 millions d’habitants, le flot incessant des voitures, le bruit et la pollution, pour la prendre à bras-le-corps, suivre son rythme effréné, se laisser submerger par son histoire millénaire et son présent de contrastes. Alors El Qahira s’abandonne, se livre au visiteur et l’entraîne dans un tourbillon de découvertes. Car La Victorieuse n’a pas dormi depuis 3 000 ans. On passe sans arrêt d’une époque à l’autre, d’un monde à l’autre. Des pyramides, bien sûr, aux églises du quartier copte, des 1 000 minarets aux maisons islamiques moins connues, des galeries d’art aux boutiques de créateurs.
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