Sans être un aventurier, déflorer la côte est de Madagascar nécessite ouverture d’esprit et patience : une hôtellerie souvent basique, parfois de charme, exceptionnellement très confortable, des trajets que l’on calcule en heures et non en kilomètres. La récompense ? Des paysages à couper le souffle, des parcs nationaux où, tête en l’air, on guette les lémuriens, et, œil à terre, on cherche les geckos. En saison, on scrute aussi la mer, en quête d’une baleine et de son baleineau. Un goût de paradis perdu, une nature luxuriante, un écotourisme frémissant pour une destination à forte valeur ajoutée : l’Est de l’île Rouge s’adresse aux individuels ou aux groupes de moins de vingt personnes. Ces conditions de découverte réunies s’avèrent propices à de formidables rencontres humaines.
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