Maritime Indéniable en 2012, malgré le naufrage du Concordia et une conjoncture plus que morose, la croisière conserve sur le marché français un potentiel important. Ce dynamisme, alimenté par le savoir-faire des compagnies, mais aussi par une guerre des tarifs, pousse à l’investissement. Entrée en flotte de nouveaux navires, rénovations poussées de bateaux à peine plus anciens, développement des animations à bord, amélioration de l’accueil dans les ports d’escale et de tête de ligne illustrent la force de frappe de cette industrie, qui génère 37 milliards d’euros de retombées économiques, rien qu’en Europe.
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