Analyse Marquant le centenaire d’une guerre, 2014 va vivre l’inflation du tourisme de mémoire – un nom qui recouvre beaucoup d’aspects sans vouloir dire grand chose. Pris au pied de la lettre, il n’est finalement qu’un synonyme du tourisme historique. Or, c’est une dimension beaucoup plus solennelle, pour ne pas dire religieuse, que sous-entend ce terme, comme si 2014 allait voir, d’Ypres à Verdun, les processions de touristes contrits, posant leur gerbe sur tombes et monuments.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous