En 2015, l’œnotourisme a été choisi, avec la gastronomie, comme l’un des cinq « pôles d’excellence touristique française » qui seront mis en place et valorisés à la demande de Laurent Fabius, alors ministre des Affaires étrangères. Mais, l’offre, dense, est aujourd’hui très éclatée et reste encore à organiser. Pourtant, le secteur est intimement lié à l’identité d’une destination.État des lieux et pistes de réflexion.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous