Les commémorations de la Première Guerre mondiale ont donné un coup de projecteur puissant sur le tourisme de mémoire. Elles ont favorisé la fréquentation des sites dédiés aux deux conflits mondiaux et réveillé l’intérêt des Français pour leur patrimoine mémoriel. Mais après quatre années d’embellie, comment séduire sur le long terme un public qui ne se réduit plus aux scolaires et aux anciens combattants? Pour les acteurs touristiques, pas question de laisser retomber l’effet Centenaire. Musées restaurés, centres d’interprétation dernier cri, visites pédagogiques associées à des pratiques plus récréatives: ce tourisme transgénérationnel ne manque pas d’atouts pour enrichir les programmations de circuits.
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