Le miracle israélien n’est plus tellement aujourd’hui de cultiver dans le désert, mais bien de faire résonner les drames chantés des opéras les plus célèbres au pied d’un rocher symbolique comme la forteresse de Massada. Après Aïda cette année, Carmen l’an prochain, les bruits de l’actualité n’ont plus qu’à se taire le temps de quelques soirées de juin.
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