Cette semaine, on sent pointer la crise de Jean-Claude-Vandammite aiguë… You know… Parce que « Too big to fail », ça vient des États-Unis, et que la traduction (un truc comme « trop gros pour sombrer »), ça claque pas vraiment dans la langue de Molière. « Too big to fail », c’est l’histoire de boîtes trop « huge » pour qu’on les laisse « fall apart » sans provoquer de dommages « bigger than life ». Résultat, on préfère les renflouer, plutôt que de créer un « world colapse ». Un genre de tonneau des Danaïdes, que l’on alimenterait pour « avoid » le « domino effect ». Remember septembre 2008 ? L’Amérique dérogeait à la règle en « giving up » la banque Lehman Brothers. On a vu le résultat. Toutes proportions gardées, in France, dans la « leisure industry », on a « New Frontiers » (Nouvelles Frontières, see what I mean…). Pas de quoi « fuck up » la planète en cas de plantage, mais quand même. Dans le genre puits sans fond, « the sky is the limit », see… Des centaines de millions d’euros de recapitalisation plus tard, c’est « too late » pour lâcher l’affaire. Du coup, ça phosphore autour du « cost killing », du « shift to online channels », et du « differentiated product » pour capter les « drivers of profitability ». Les plus perfides disent qu’il reste un bel « asset » à NF : « its brand ». « Whatever », le temps est venu du « return on investment ». Condamné à réussir. In any case…